photo La Nuit des Rois

La Nuit des Rois

Spectacle, Théâtre, Théâtre

ALENCON 61000

Le 11/10/2021

Sylvain Levitte entend faire revivre le théâtre élisabéthain comme un lieu de liberté, de joie et de questionnement du désir. La distribution de cette Nuit des Rois se veut ici 100 % féminine, le travestissement se plaçant ainsi au cœur de l’intention dramaturgique. Viola, rescapée d’un naufrage – comme son jumeau Sébastien qu’elle croit disparu dans les flots – se travestit, prend le nom de Césario et offre ses services au duc Orsino. Charmé, ce dernier en fait son page et le charge de transmettre son amour à la Comtesse Olivia. Mais Césario/Viola, secrètement séduit.e par le Duc, excelle si bien dans sa mission que la Comtesse tombe sous le charme de ce « jeune garçon ». L’intrigue amoureuse se déploie sur le fil de mélodies classiques et romantiques jouées au piano dans un écrin bleu nuit qui évoque tant les côtes illyriennes que les murs défraîchis des palais. Au-delà du plaisir du déguisement qu’elles partagent avec malice, les sept comédiennes en jeu mettent en lumière la force du désir dans toutes ses palettes : manque, animalité, torrent irrépressible, délire sans limites… Jusqu’où le désir peut-il nous conduire ?

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La Nuit des Rois

Spectacle, Théâtre, Théâtre

ALENCON 61000

Le 12/10/2021

Sylvain Levitte entend faire revivre le théâtre élisabéthain comme un lieu de liberté, de joie et de questionnement du désir. La distribution de cette Nuit des Rois se veut ici 100 % féminine, le travestissement se plaçant ainsi au cœur de l’intention dramaturgique. Viola, rescapée d’un naufrage – comme son jumeau Sébastien qu’elle croit disparu dans les flots – se travestit, prend le nom de Césario et offre ses services au duc Orsino. Charmé, ce dernier en fait son page et le charge de transmettre son amour à la Comtesse Olivia. Mais Césario/Viola, secrètement séduit.e par le Duc, excelle si bien dans sa mission que la Comtesse tombe sous le charme de ce « jeune garçon ». L’intrigue amoureuse se déploie sur le fil de mélodies classiques et romantiques jouées au piano dans un écrin bleu nuit qui évoque tant les côtes illyriennes que les murs défraîchis des palais. Au-delà du plaisir du déguisement qu’elles partagent avec malice, les sept comédiennes en jeu mettent en lumière la force du désir dans toutes ses palettes : manque, animalité, torrent irrépressible, délire sans limites… Jusqu’où le désir peut-il nous conduire ?

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